It is for you this little song
Man of Auvergne who without fuss,
Once gave to me four bits of wood
When in my life there was real cold.
You who gave fire to warm me when
Staid members of the upper crust
All the people with good intent
Had slammed their doors shut in my face.
It was merely a fire of sticks
But it had warmed my body through
And in my soul it burns on still
In the way a bonfire would do.
You man from Auvergne, when you die
When the mortician bears you off
May he take you across heaven,
To the God everlasting.
It is for you this little song
You the hostess who, without fuss,
Once gave to me four bits of bread
When in my life there was hunger .
You who opened your larder when
Staid members of the upper crust
All the people with good intent
Enjoyed seeing me go without.
It was merely a bit of bread
But it had warmed my body through
And in my soul, it burns on still
In the way a great feast would do.
You, the hostess, when you will die
When the mortician bears you off,
May he take you across heaven,
To God everlasting.
Ohhh
It is for you this little song
You friend who without fuss,
Once gave to me four bits of wood
When in my life there was real cold.
You who gave fire to warm me when
Staid members of the upper crust
All the people with good intent
Had slammed their doors shut in my face.
It was merely a fire of sticks
But it had warmed my body through
And in my soul it burns on still
In the way a bonfire would do.
You friend, when you die
When the mortician bears you off
May he take you across heaven,
To the God everlasting.
Sing along
Helping others is a blessing
lyrics
Elle est à toi, cette chanson,
Toi, l'Auvergnat qui, sans façon,
M'as donné quatre bouts de bois
Quand, dans ma vie, il faisait froid,
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
M'avaient fermé la porte au nez…
Ce n'était rien qu'un feu de bois,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un feu de joi’.
Toi, l'Auvergnat quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
Elle est à toi, cette chanson,
Toi, l'hôtesse qui, sans façon,
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim,
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
S'amusaient à me voir jeûner…
Ce n'était rien qu'un peu de pain,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un grand festin.
Toi l'hôtesse quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise à travers ciel,
Au Père éternel.
Ohhh
Elle est à toi, cette chanson,
Toi, l'Ami qui, sans façon,
M'as donné quatre bouts de bois
Quand, dans ma vie, il faisait froid,
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
M'avaient fermé la porte au nez…
Ce n'était rien qu'un feu de bois,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un feu de joi’.
Toi l'ami quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
Twimbe twimbe mama yoyoyo
Kusaidiya muntu ni baraka eh
